3/ Juger d’un rapide coup d’œil de l’état du véhicule qui nous amènera à destination

4/ Trouver une place assis

5/ Et attendre que le temps s’écoule : regarder le paysage, dormir, manger. Cela est possible si les autres passagers ne sont pas malades, s’il ne fait pas trop froid, si le car n’est pas trop inconfortable, si le chauffeur ne conduit pas comme un fou, autre transport Vietnamien... Bref, dans tous les cas, cela revient à patienter jusqu’au jour où la technologie nous permettra de nous téléporter n’importe où sur la terre…

6/ Espérer qu'il n'y ait pas d'incident (panne, accident…), sans trop de retard, pour ne pas arriver après la tombée de la nuit.

7/ Si malgré tout, le transport parvient à destination le soir venu, il reste la délicate mission de trouver une chambre où passer la nuit... L’aventure se complique lorsque nous n’avons pas de réservation et que nous n’avons pas de plan de la ville ou d’indication d’hébergement... (cf Chine arrivée à Nanning, à Zhangjajie…)

Et il faut encore trouver un lieu où nous restaurer (un marché, un supermarché...)

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Mais, dans ce cas présent, nous avons le grand luxe d’être pour une fois attendus par notre hôte du WWOOF. Ainsi, le point 7 ne nous concerne pas aujourd'hui...Nous aurons juste eu une journée de transfert de 8h à 15h, le temps d’admirer les paysages de la Nouvelle-Zélande...

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Notre car

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Notre super conductrice (la meilleure du voyage) : conduite en douceur malgré les petites collines à franchir...

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un Road train, comme en Australie

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Grande surprise, nous n’avons pas beaucoup vu comme nous l’imaginions de moutons, en revanche nous avons beaucoup croisé de vaches...

Ce sont peut être des

"... vaches rousses, blanches et noires

Et les cerisiers blancs made in Normandie ..."

de Stone et Charden

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Lors de l’escale à Rotorua, la pause pique nique ...

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Photo prise du second car nettement moins confortable… Cliché lunaire...

ou photo plus réaliste

...à moins que vous ne préfériez une vue de l’océan…

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Nous attendons au terminal de car. Il n’y a pas de doutes, nous sommes à la campagne : le tracteur,

le restaurant où le car nous a déposés nous évoque certains bourgs traversés en Australie Occidentale entre Perth et Albany...

Nous ne savons pas à quoi ressemblent nos hôtes, nos échanges se sont faits exclusivement par mail. Impatients, nous observons chaque voiture qui passe, nous sommes attentifs à chaque personne qui nous dévisage de plus près...

Nous remarquons des fillettes rentrant de l’école nus pieds… nous avions déjà rencontré ce phénomène en Australie… Cela nous surprendra tout de même...

Et finalement un homme la cinquantaine sort d’un 4*4 : Jim.

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Nos bagages déposés, nous découvrons, de l’autre coté de la route, le travail qui nous attendait le lendemain : récolter des tomates cerises.

C’est bio donc c’est en friche. Les serres sont plutôt délabrées, conséquence d’une tempête. Oui, en fait, il ne reste rien si ce n’est la structure en bois… Mais où sont donc les tomates ?

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Dans la soirée, nous faisons connaissance avec le reste de la famille :

L’épouse de Jim : July

Et leur fils : Nathanael

Sans oublier leur chien et leurs chats

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Ce WWOOF exploite des tomates cerises, haricots blancs et courgettes, pommes et tangerines... L’exploitant Jim fait le marché dans un village voisin tous les samedis. Par ailleurs, les tomates cerises sont aussi vendues à des épiceries bio à Wellington, la capitale, et dans d'autres grandes villes.

Des Tangerines, agrumes à mi-chemin entre la clémentine et l'orange...